Monsieur Denis, Emile, MARIN, petit-fils de Eugène, Emile, Adrien NORMANDIN, nous a adressé ce droit de réponse.
L'article relatif à l'origine du nom donné à une rue intitulé "Une rue... Un nom" publié dans notre dernière lettre d'information (newsletter du 08 juillet 2024) contient dans la biographie des informations contestées par son petit-fils.
Il nous demande de préciser :
"Emile Normandin n'a pas fait toutes les grèves, il était en arrêt maladie pour dépression en 1937,
et il n'a pas assisté au Meeting du 1er mai, qui se déroulait à L'Oratoire et que présidait Monsieur Allard.
4000 manifestants ont défilé ce jour-là à La Rochelle.
À la suite, Il réside quelques mois durant 1937/ 1938 au 62 cour Reverseau à Saintes.
Sa femme est gravement malade et décède peu avant le 15 mars 1939.
En 1939 il est secrétaire général du syndicat des cheminots situé au 31 bis grande rue de TASDON,
Ce dernier sera perquisitionné le 28 novembre 1939 par le commissaire de police Jean Pinot,
suite au décret du 26 septembre 1939 portant dissolution des organisations communistes et
des groupements qui s'y rattachent.
Durant son engagement au parti communiste il est adhérent à la Cellule de FETILLY carte n° 334251.
Il réside en 1939 dans sa dernière maison , Villa MIDA du nom de son Fils Michel et de sa fille Danielle ma Maman,
située au 15 rue Emile Zola à La Rochelle.
Il est arrêté le 4 septembre 1942 par la SAP et la SIPO.
Denis Emile Marin."
Pour plus de précisions, il invite nos lecteurs à lire la seconde partie c'est-à-dire le manuscrit de Monsieur Paronnaud "qui décrit ce qu'a enduré Emile NORMANDIN" en cliquant sur le bouton bleu ci-dessous.